Ce blog est un espace de lecture et d'écriture, de création et d'échange, autour de la littérature. Il est l'oeuvre de Premières du Lycée de l'Iroise à Brest (France) et d'élèves apprenant le français au Liceo Cecioni à Livourne (Italie) dans le cadre d'un projet eTwinning. "Ecrire ne saurait être qu'un acte de fraternité avec la poésie de ses semblables" (Georges Perros)
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HYPOTEXTE : LEONARD DE VINCI : La Joconde HYPERTEXTES : HOMMAGE YANICK DOUET - Ma Joconde PASTICHE Richard Krause - Leal Souvenir TRANSPOSITION CUBISTE Fernand Léger : La Joconde aux clefs PARODIES MARCEL DUCHAMP - L.H.O.O.Q. SALVADOR DALI : Autoportrait...
Le matin dans une gare la jeune femme m'adresse alors les yeux et je glisse dans un song sans faux-semblants. Je regarde sa ligne de vie s'enfuir calme comme les anneaux d'un lac. Un instant la douceur dure encore puis je m'éveille dans un poste-fron...
pour écouter le poème de Jean-Claude Dubois Véronique Soriano - Peinture improvisée sur une musique de Benoit Cancoin pour écouter la justification du choix
A chaque fois, je crois écrire mes derniers mots, les écrire dans un de ces cahiers de brouillons. En me trompant de musique, je n'ai d'autres réponse que d'écrire ce visage. Voilà pourquoi je n'ai pas aimé cette musique la première fois que je l'ai entendue,...
La Douaro et la Bescard Meline Douaro, sur un arbre perché, Faisait a son mec un massage. M'dame Bescard, par son coeur attirée, Lui tint à peu près ce Draguage : "Hé ! bonjour, L'mec a Douaro. Comment t'es sexy! Comment tu te sapes chero ! Sans mito,...
Un tintement de pièces sur la table claire la jeune femme m'adresse alors les yeux se lève d'un souffle emporte sa question je regarde sa ligne de vie s'enfuir vers la ville qui la boit de tous ses pores la Seine coule sous ses pas c'est novembre il est...
le soleil est un chat jaune il lèche la tache vive là en bas tôt ou tard il fondra sur ces riens affairés pattes grêles et jolies petites mains roses qui gribouillent ne savent quoi dans l'innocent désordre végétal page 109 et 108 du recueil Aval
La dame du dixième lien La dame du dessus est morte Il y a des scellés sur sa porte On entendra plus pleuvoir Son arrosoir Sur le balcon La vie c’est con La dame du dessus bonjour Trois petits riens trois petits tours On descend ses pots de fleurs Par...
[ Suppression de la lettre O ] La cigale ayant chanté Pendant l'été eu une mauvaise surprise Quand fut venue la bise: Pas une seule petite miette De vermisseau ou petite bête. Elle alla crier famine Chez la méchante radine , Lui priant de lui préter Quelques...
Prêtre corniaud sur un sabre séché. Prenait en son mec un fourrage. Prêtre rusard par l' horreur ammassée, Lui vint a peu près ce lavage : " Et balourd mon scié du carreau. Que vous faites poli ! que vous me sanglez haut ! Sans sentir si votre rasage...
J'aime ce recueil parce qu'il a su obtenir une touche subtile d'humour, avec un brin de réalité, tout en restant dans un délire fou, voire hérmétique. Jean-Claude Touzeil m'a donné l'impression qu'il aime jouer avec l'image, les effets visuels, et des...
Lorenzo Les paroles cyniques et ironiques de Lorenzo, sa façon de parler, ses airs gênants m’ont laissé imaginer un jeune homme aux traits fins mais saillants. Je le vois assez grand, maigre, avec des cheveux ébouriffés, un teint pâle et un visage armé...
Hypertexte Un lovelace et l’agrammatisme La ramée du plus fouillée est toujours la mélanose Nous alternons mordre tout à la hiérarchie Un agrammatisme se désapait Dans le couroucou d’une ontogenèse purulente Un lovelace suspint à joliment, qui chiffonnait...
MOTS D’AMOUR… Bisous cœur amour aimer… La courbe de tes yeux fait le tourde de mon cœur Chaque jour je t’aime davantage, aujourd’hui plus qu’hier mais bien moins que demain…. «La vie en rose » Edith Piaf Quand il me prend dans ses bras, Il me parle tout...
Le champ lexical qui parcourt plusieurs poèmes du recueil est celui du voyage. Parfois, en Normandie le noisetier lève le coude. Parfois, dans les pays de bocage le chêne se métamorphose en têtard. Parfois, à Copenhague, les touristes font la queue pour...
ah le bel homme que c' était ainsi tombé dans le néant des choses inavouées néfaste beauté clouée du mensonge envenimé la rivière qui sait d'où elle vient ( où penché il buvait le miroir et le reflet de plausibles aurores ) tous ces regrets et toutes...
* La cigogne et la fournaise. La cigogne ayant chantignole tout l'étendoir se troyennes fort déprécation quand la bisexualité fut vent : Pas un severac petit chaperon rouge mordicus de moucheter ou de vernaculaire Elle alla criminaliser fanatisme chez...
à propos du meurtre du Duc ... Soronconcolo : Quel drame épouvantable, il nous en faut nous laver les mains avant que le peuple en soit averti. Dieu de bonté maître, vite !
La marquise : N'espèrez rien et soyez assuré de mon mépris Vettori : Votre voix n'est qu'une voix. Nous nous passerons de vous Lorenzo : Est-ce bien ton désir ? Songes-y bien. Benvenuto : Cela est impossible, Altesse. *